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Inferno de Dan Brown
Date france :
2013.05.23
Traducteur :
Dominique Defert et Carole Delporte
Editeur :
ISBN :
9782709643740

Inferno

2013
9 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 9 h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

11 %22 %33 %44 %56 %67 %78 %89 %
8 h7 h6 h5 h4 h3 h2 h1 h
 
 
C’est l’une des plus grandioses œuvres de la littérature italienne, L’Enfer de Dante, qui est le fil conducteur de cette nouvelle aventure. En Italie, plongé dans une atmosphère aussi opaque que mystérieuse, le héros de Dan Brown, Robert Langdon, professeur de symbologie à Harvard va devoir affronter un adversaire diabolique sorti des limbes de l’Enfer et déchiffrer l’énigme la plus complexe de sa carrière. Elle le fait plonger dans un monde où l’art et la science de pointe tissent un écheveau qui exige de sa part toute son érudition et son courage pour le démêler.
S’inspirant du poème épique de Dante, Langdon se lance dans une course contre-la-montre pour trouver des réponses et découvrir en traversant les Cercles de l’Enfer ceux qui détiennent la vérité… avant que le monde ne soit irrévocablement changé.

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Les commentaires :

 
J’ai pris beaucoup de plaisir à retrouver Robert Langdon ainsi que la plume de Dan Brown. Cette fois-ci, Robert Langdon est amnésique et doit faire le nécessaire pour échapper à ses poursuivants dans la très belle ville de Florence. Dan Brown a un grand talent : la ville de Florence tient une grande place dans l’histoire, c’est presque un personnage à elle seule et je n’ai qu’une envie après avoir lu ce livre, c’est de me rendre en Italie pour découvrir toutes ses descriptions pour de vrai !! J’ai beaucoup aimé le côté ésotérique avec Dante et son Inferno ainsi que toutes les explications sur les œuvres d’Art rencontrées au long du roman et pourtant je suis très loin d’être une féru d’Art quel qu’il soit ! On découvre en même temps que Robert pourquoi il est poursuivi même si l’histoire est raconté de plusieurs points de vue : Robert, la directrice de l’OMS : Elizabeth Sinskey, l’organisation du Consortium et ses agents. Le suspens est à son comble lorsque l’on s’aperçoit que les méchants ne sont pas forcément ceux que l’on croyait... Je n’ai qu’une critique, c’est la répétition de certains passages jusqu’à 5 ou 6 fois dans le roman, c’est assez agaçant ! Sinon, Dan Brown n’a rien perdu de son style, on retrouve l’atmosphère du Da Vinci Code et de Anges et Démons, de superbes descriptions de paysages, de monuments ou de peintures. De plus, le sujet du livre pose une question existentielle : la Terre est-elle trop peuplée ? Et si oui, serions-nous capable de faire mourir la moitié de l’humanité pour que la deuxième moitié puisse survivre ? A méditer...
J’avais hâte de le lire ce livre tant attendu, je suis fan de Dan Brown, j’ai tout lu mais j’avoue qu’à force, il serait peut-être temps qu’il se renouvelle et change sa dynamique et son personnage.  L’écriture est toujours la même, sans trop de surprise au niveau de la façon d’écrire, néanmoins très très agréable. On suit les personnages sur quelques pages, on passe au suivant et on alterne. Finalement beaucoup de répétitions et parfois des longueurs mais quoi qu’il en soit la lecture fut rapide et tout aussi passionnante que pour les précédents opus. On retrouve Robert Langdon à Florence. Il se réveille dans une clinique en pleine nuit. Il a été agressé et ne se souvient pas de la raison de sa présence à Florence. Il est poursuivi par Vayentha qui essaye de le supprimer, et il entraîne dans sa fuite le médecin qui l’a soigné Sienna Brooks.
Il est en possession d’un macabre objet, il comprendra qu’il s’agit d’un message codé écrit par un scientifique passionné par Dante et son “Inferno”. (l’enfer) Le passage au Paradis passe par l’enfer nous dit Dante. Quelle sera la conséquence de tout cela? Est-ce pour détruire la vie sur terre ? L’améliorer? J’ai peur d’en dire trop, je dirai simplement sans trop déflorer le sujet qu’on parle beaucoup de Dante , Inferno est le troisième volet de “la divine Comédie” Beaucoup de pistes de réflexion s’offrent au lecteur et le suspense reste entier jusqu’à la dernière page. 
Voilà une fiction certes mais pas complètement vide de sens, j’ai passé un très bon moment.  Arrêtez-vous ici dans ma critique si vous n’avez pas lu le livre et revenez-y ensuite pour ne pas apprendre des éléments avant la lecture.  Je ne peux m’empêcher de partager certaines pistes de réflexions soulevées par le récit : 
La fin du monde arrivera de part le fait que l’Homme se reproduit de façon exponentielle et que notre belle planète a des limites, ne faut-il pas limiter le nombre d’êtres vivants sur terre? c’est un vrai débat, n’est-ce pas réellement ce qui s’est produit par le passé peu importe la façon :
- catastrophes naturelles
- famine
- guerre
- épidémie L’auteur évoque que si l’on régule le nombre d’habitants on passe ensuite à une “renaissance”, n’est-ce point ce qui est arrivé avec les épidémies de peste dans la passé? Notre salut n’est-il pas à ce prix?
Nous sommes de plus en plus nombreux, vivons de plus en plus longtemps, la médecine évolue dans ce sens, et notre belle planète possède de moins en moins de ressources. 
L’auteur évoque également le transhumanisme. Définition de l’auteur : Courant intellectuel, forme de philosophie, qui trouve ses fondements dans la science. pour résumer, elle affirme que l’homme doit utiliser la technologie pour transcender la faiblesse inhérente à sa condition. La prochaine étape de l’évolution humaine serait de nous améliorer nous-même - immunisation héréditaire pour modifier les cellules souches et protéger nos descendants des maladies mortelles - biologiquement parfait.  
Cela fait froid dans le dos d’y penser mais la nature ne nous manifeste-t-elle pas son ras-le-bol de façon de plus en plus régulière? Entre fiction et réalité ? à méditer. 
Le coin lecture de nath
 
Voici donc les nouvelles aventures de Bébert (avatar explicitement idéalisé de l’auteur) flanqué comme à son habitude d’une “Langdon girl” de 20 ans sa cadette (
avec laquelle il finira par échanger un chaste baiser parce qu’il
faudrait pas non plus inquiéter bobonne Brown avec les fantasmes de son écrivain de mari).
Dan Brown reprend donc ici carrément la trame de son Da Vinci Code qui mêlait un très très vieux bouquin (“The Holly Baïbole” vs “La Divina Commedia”) d’auteurs hyper connus (Jésus et ses potes vs Dante Alighieri) avec des lieux hautement culturels européens (Paris/Londres vs Florence/Venise) et leurs musées notoires (Le Louvre vs Les Offices and co), une quête (le Graal vs un virus caca-boudin), tous les autres ingrédients du schéma actanciel et tout plein de messages codés à déchiffrer grâce au truchement d’œuvres d’art et d’habiles petites méninges en ébullition.
Ainsi, sous couvert d’une nouvelle enquête symbolico-culturelle pseudo-scientifique, nous sommes face à une énième réédition du Guide du Routard spécial Toscane ou Vénétie (voire d’une brochure pour Istanbul d’un Tour Operator). En gros, le Robert, c’est quand même le seul mec qui a toutes les polices italiennes au cul (+ 2 ou 3 organisations secrètes) et qui prend le temps d’admirer le paysage (et accessoirement les monuments historiques de la ville), se remémorant une foultitude d’anecdotes à la con sur les lieux en question (en terme d’anecdotes à la con, comprendre « trucs qu’on connaît déjà si on a vu 3 documentaires ou un tant soit peu écouté les cours d’histoire sur les Médicis et ceux de civilisation ou de littérature en italien LV12000 », détail typiquement européen mais qui gâche un brin le suspens genre “oh, mais c’est un cul-de-sac ! Comment vont-ils bien pouvoir s’en sortir ?!?... Ouais ben non, il y a un passage secret que tout le monde connait (même moi et pourtant je suis pas la moitié d’une buse) sauf les poursuivants de Bébert évidemment...”).
Parce que c’est qu’il fait dans l’éducatif le Dany, à nous parler du corridoio très très secret de Vasari qui reliait le palais Boboli au Palazzo Vecchio sans passer par la case départ mais par-dessus le Ponte Vecchio, de la coupole Brunelleschi de Santa Maria del fiore, du Davide de la piazza della Signoria ou de la porte du Baptistère de la piazza del Duomo qui sont des copies (WHAT ?!?) puis du Pont des soupirs qui n’a pas un nom si romantique que ça et de l’origine de l’expression « soleil de plomb » voire de l’inspiration turque de l’emblème Disney...
Je vous le fais en bref mais le pourquoi du comment est très largement développé dans le roman : Bah oui, quand on s’est fait spécialiste de l’écriture de pavés, faut meubler, évidemment... (Rajoutez ce genre de procédé d’écriture : « Elle acquiesça avec un air d’approbation » - euh... tout en hochant la tête et en disant « Oui » ? - Et vous obtiendrez 600 bonnes grosses pages).
Ainsi, arrivé au 2/3 du bouquin et certainement histoire de jouer les prolongations sur quelques 200 pages supplémentaires, Dan Brown va utiliser le twist du twist du twist (again) où on passe son temps à se dire « oui mais ça explique pas pourquoi on a tiré une balle dans la tête à Bébert au début »... Mais au bout d’une cinquantaine de pages d’explications plus ou moins laborieuses, l’auteur retombe sur ces pattes (« ah ok, vu comme ça c’est bien capillotracté mais ça se tient »... Et oui : dans le genre « inversion des rôles » avec les gentils méchants et les méchants gentils, n’est pas Donato Carrisi qui veut ! ).
Enfin, comme tout bouquin de Dan Brown qui se respecte, « Inferno » est une sorte de baromètre : vous voulez connaître qu’elle est la dernière théorie du complot en vogue au États-Unis ? Demandez au Dany, il est au taquet ! En l’occurrence, ce sera la surpopulation mondiale et les divers moyens drastiques envisageables (ou envisagés) pour résoudre le problème.
En conclusion, pas le pire des Dan Brown (ni le plus chiant) et comme à chaque nouvel opus de l’écrivain, on sait à quoi on s’attend : un livre divertissant, pas toujours très cohérent ni très subtil, avec moult rebondissements (trop?) et quelques références culturelles, artistiques et architecturales... Une sorte de blockbuster littéraire en somme, sympa à lire, sans trop de remises en questions fondamentales et sans laisser un souvenir impérissable.
 
J’ai passé un bon moment de lecture mais les passages plats coupent un peu l’élan. L’intrigue est intéressante et Langdon toujours aussi agréable.
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