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Le Dernier stade de la soif de Frédérick Exley
Date france :
2011.02.24
Editeur :
ISBN :
9782953366433

Le Dernier stade de la soif

2011
9 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 9 h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

7 %19 %30 %42 %53 %65 %77 %88 %
8 h7 h6 h5 h4 h3 h2 h1 h
 
 
Avec mordant et poigne, Exley décrit les profonds échecs de sa vie professionnelle, sociale et sexuelle. Ses tentatives pour trouver sa place dans un monde inflexible le mènent aux quatre coins du pays, mais surtout à l’hôpital psychiatrique d’Avalon Valley. Au gré des bars, des boulots et des rencontres improbables, l’obsession d’Exley pour la gloire, les New York Giants et leur joueur star, Frank Gifford, grandit.

Les commentaires :

 
REINE DAHL - Un commentaire un peu plus personnel du livre: Tellement d’écrivains et autres artistes sont mis en avant indissociablement du mal qui les rongeait : Gainsbourg, Boris Vian, Françoise Sagan, Marilyn Monroe.
Comme si leur addiction était un des ingrédients de leur art.
Peut-être est-ce le cas pour ces grands artistes. Mais dans la plupart des cas, se saouler la gueule en rêvant d’être un écrivain célèbre ne mène pas à grand-chose.
C’est exactement ce qui arrive à Frédérick Exley, fils d’athlète qui grandit dans les années 30 et qui végète totalement dans les années 50.
Faisant croire à sa femme qu’il écrit toute la journée alors qu’il lui pique de l’argent pour se saouler, se ressaisissant pendant quelques semaines pour mieux replonger dans ses vices. On a affaire à un personnage qu’on veut voir attachant, et qu’on trouve en fait détestable au fur et à mesure qu’on compte le nombre de personnes blessées sur son parcours.
Il n’empêche, ce Frédérick, mu par cette idée qu’il est habité par un talent ne demandant qu’à éclater, et obsédé par cette impression que l’Amérique le déteste car il ne rentre pas dans les cases (alors que c’est surtout l’inverse), est fascinant de bout en bout.
L’écrivain, il le dit dès le départ, écrit sur sa vie, en inventant toutefois la totalité des personnages secondaires.
Et c’est un tour de force assez impressionnant.
Reine Dahl
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