| Date france : |
1998 |
Les particules élémentaires
1998
6 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 6 h pour lire ce livre.
Temps restant en fonction de l'avancement :
| 17 % | 33 % | 50 % | 67 % | 83 % |
| 5 h | 4 h | 3 h | 2 h | 1 h |
Michel, chercheur en biologie rigoureusement déterministe, incapable d’aimer, gère le déclin de sa sexualité en se consacrant au travail, à son Monoprix et aux tranquillisants. Une année sabbatique donne à ses découvertes un tour qui bouleversera la face du monde. Bruno, de son côté, s’acharne en une quête désespérée du plaisir sexuel. Un séjour au “Lieu du Changement”, camping post-soixante-huitard tendance New Age, changera-t-il sa vie ? Un soir, une inconnue à la bouche hardie lui fait entrevoir la possibilité pratique du bonheur. Par leur parcours familial et sentimental chaotique, les deux demi-frères illustrent de manière exemplaire la société d’aujourd’hui et la quête complexe de l’amour vrai.
Les commentaires :
Huitièmedecouv'
2014-10-12 10:54
e dois vous avouer que les grandes théories sur les molécules de je ne sais quel grand spécialiste c’est pas trop ma tasse de thé. Etant donné qu’une partie du livre est basé sur ce thème, je commençais ma lecture un peu à reculons. On y suit deux demi-frères qui semblent avoir comme unique point commun l’abandon de leur mère : l’un, Michel, est chercheur, une pointure dans le monde scientifique, et l’autre, Bruno en quête d’expériences sexuelles est adepte des clubs libertins. Sur un fond de tristesse, on voit défiler la vie de ces deux hommes plus que moroses, dénouées de joies et de bonheur. On découvre dans ce bouquin un côté sulfureux et provocant en la personne de Bruno. Choqué ou surpris, on ne peut rester indifférent aux mots crus qu’emploie parfois Michel Houellebecq pour relater les actes de Bruno. On aime ou on aime pas ce livre, son ambiance, son histoire. Quoiqu’il en soit l’auteur n’a pas peur de sortir des sentiers battus. En ce qui me concerne, ce ne fut pas une lecture qui m’emporta. Je n’ai pas forcement eu d’empathie envers ces deux protagonistes. L’histoire ne m’a pas vraiment intrigué (y avait-il une intrigue?) mais j’ai tout de même voulu (et réussi) terminer ce livre. On n’enlèvera pas à l’auteur son goût pour la provocation qui est bien présente dans Les particules élémentaires.
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