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Rue de la Sardine de John Steinbeck
Date france :
1947
Titre origine :
Cannery Row
Date origine :
1945
Traducteur :
Magdeleine Paz
Editeur :
ISBN :
9782072475405

Rue de la Sardine

1947
3½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 3½ h pour lire ce livre.

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La Rue de la Sardine, à Monterey en Californie, c’est un poème ; c’est du vacarme, de la puanteur, de la routine, c’est une certaine irisation de la lumière, une vibration particulière, c’est de la nostalgie, c’est du rêve. La Rue de la Sardine, c’est le chaos. Chaos de fer, d’étain, de rouille, de bouts de bois, de morceaux de pavés, de ronces, d’herbes folles, de boîtes au rebut, de restaurants, de mauvais lieux, d’épiceries bondées et de laboratoires. Ses habitants, a dit quelqu’un : « ce sont des filles, des souteneurs, des joueurs de cartes et des enfants de putains » ; ce quelqu’un eût-il regardé par l’autre bout de la lorgnette, il eût pu dire : « ce sont des saints, des anges et des martyrs », et ce serait revenu au même.

Les commentaires :

 
Je dois tout d’abord avouer que si mon Book Club n’avait pas choisi ce titre, je ne m’y serais pas attardée de moi-même : la vie de paumés qui errent toute la journée tout en buvant de l’alcool, très peu pour moi. Mais c’est Steinbeck. Mais je l’ai lu en VO. Mais c’est tout de même plaisant à lire, ne serait-ce que les descriptions de la vie marine à marée haute et basse.
Les personnages sont attachants, certes, mais je n’ai pas du tout apprécié (comme je pouvais m’y attendre) ce groupe d’hommes sans travail fixe qui boivent toute la journée et ne savent rien faire sans tout casser comme de vrais gamins.
Steinbeck s’attache à nous faire partager un bout de vie des habitants de Monterey, à nous faire comprendre que l’Amérique ce n’est pas que du rêve et des paillettes à Hollywood. Il y a comme un fond d’étude ethnologique dans cette histoire, ce qui est finalement le but de plus intéressant de cet ouvrage. Il ne s’y passe rien de bien passionnant, comme dans la vie de tout les jours et de tout un chacun. L’Amérique ouvrière, l’Amérique au chômage, l’Amérique... sous un angle qu’elle préfèrerait que le Monde ignore. Steinbeck, c’est l’écriture vraie, sur la vraie vie. Peu importe si on trouve cette histoire intéressante ou non. Tout ce qu’il y a à retenir, c’est qu’elle est intemporellement triste de vérité(s).
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