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Le Nom de la rose de Umberto Eco
Date france :
1982
Titre origine :
Il nome della rosa
Date origine :
1980
Traducteur :
Jean-Noël Schifano
ISBN :
9782253033134

Le Nom de la rose

1982
14 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 14 h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

7 %21 %36 %50 %64 %79 %93 %
13 h11 h9 h7 h5 h3 h1 h
 
 
Après tout, un inquisiteur, c’est une sorte d’enquêteur, en plus dangereux peut-être, et lorsque Guillaume de Baskerville, accompagné de son secrétaire, arrive un jour de l’an de grâce 1327 dans une abbaye perdue entre Provence et Ligurie, c’est tout naturellement que le père abbé lui demande de découvrir comment un de ses moines s’est retrouvé disloqué au pied d’une muraille. Un moine en principe, cela ne se suicide pas, mais cela n’assassine pas non plus. Alors que s’est-il passé ? Il faut dire qu’ici on n’a pas affaire à des moines très catholiques. Le premier roman d’Umberto Eco a véritablement révolutionné le genre du policier historique, soumettant avec humour les nécessités de l’intrigue à un jeu de devinettes d’une érudition éblouissante. Prix Médicis étranger en 1982, le roman a été porté à l’écran par Jean-Jacques Annaud avec Sean Connery dans le rôle de Guillaume de Baskerville.

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Les commentaires :

 
C’est une bien belle déception de mon côté avec ce “polar classique moyennâgeux” plutôt culte dans l’oeuvre d’Umberto Eco.
En lisant les autres avis, on est pourtant prévenus : des répétitions à outrance, une enquête mise au deuxième plan derrière des considérations éthico-philosophico-religieuses, du latin non-traduit.
C’est exactement ça.
Je rajouterai que ces répétitions font partie d’un récit à rallonge extrêmement lent qui a de quoi saturer la patience d’un lecteur pourtant avisé et résolu à poursuivre. Egalement que c’est généralement le crime et l’enquête qui motivent cette lecture alors qu’un nombre incalculable de paragraphes sur l’état de la chrétienté à l’époque du récit, la religion en général ou les “aventures” d’Adso composent la majorité des pages disponibles. L’auteur s’arrange souvent pour retourner à nos moutons en fin de chapitre, histoire de faire quelque peu avancer l’énigme globale, néanmoins au pris d’avoir perdu la moitié de son auditoire.
Car l’auditoire en question est plutôt malmené, aussi bien avec la situation chrétienne complètement incompréhensible pour les profanes (tous les ordres religieux qui se distinguent pour un oui ou pour un non, les allégeances “girouettantes” des papes contemporains, les rhétoriques religieuses contradictoires...) qu’avec les déplacements de Guillaume et Adso dans la fameuse bibliothèque, dans laquelle ils vont, ils partent, ils retournent, ils repartent, ils reviennent, ils requittent et reretournent sans qu’on en voie la fin !
Ensuite, ce fameux latin non traduit : ahhh, Umberto Eco dans toute sa puissance, qui pense qu’on ne peut s’en prendre qu’à nous-mêmes si on n’est pas capables de comprendre le latin ! Car quand on a lu Dire presque la même chose comme votre fidèle serviteuse, on s’aperçoit vite que l’homme, certes érudit mais franchement élitiste et qui ne s’en cache pas, semble penser que tout un chacun devrait maîtriser plusieurs langues ou du moins comprendre les subtilités parmi plusieurs. Sans commentaire...
Alors, tout cumulé, ça irrite. Malgré les — quelques — commentaires enchantés qui engageaient à finir car la fin vaut le détour, l’agacement a pris le pas sur la bonne volonté.
J’ai personnellement abandonné à la moitié. En regardant ce que la suite du récit offrait, j’ai été effarée par la lenteur qui persistait, la découverte de l’identité du criminel et surtout la raison pour laquelle il a commis ces meurtres. Et là, j’ai souri en me disant que j’avais pris la bonne décision, car en finissant, j’aurais certainement dit : “Euhh, c’est tout ?? Tout ça pour ça ???"
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