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Le lien maléfique de Anne Rice
Date france :
1992
Titre origine :
The Witching Hour
Date origine :
1990.10.19
Traducteur :
Annick Granger de Scriba
Editeur :
ISBN :
2221072480

Le lien maléfique

1992
23 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 23 h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

3 %16 %30 %43 %56 %69 %82 %96 %
22 h19 h16 h13 h10 h7 h4 h1 h
 
 
Sous le porche d’une vieille demeure à l’abandon de La Nouvelle-Orléans, une femme frêle et muette se balance dans un rocking-chair : Deirdre Mayfair est devenu folle depuis qu’on lui a retiré, à la naissance, sa fille Rowan pour l’envoyer vivre à San Francisco. Et derrière la grille du jardin, un homme, Aaron Lightner, surveille inlassablement Deirdre, tout comme le Talamasca, la société secrète et très discrète à laquelle il appartient, surveille la famille Mayfair depuis des siècles. Car les Mayfair ne sont pas des gens ordinaires : de génération en génération, les femmes du clan se transmettent leurs pouvoirs de sorcellerie.
L’éloignement de Rowan a-t-il suffi, se demande Aaron, à rompre ce lien maléfique ou bien va-t-elle à son tour, à la mort de sa mère, devenir une redoutable sorcière Mayfair ? Des considérations bien éloignées de la vie de la ravissante jeune femme qui débute en Californie une carrière prometteuse de neurochirurgien. Avec cependant une petite ombre au tableau : pourquoi les gens dont elle souhaite en son for intérieur la disparition meurent-ils tous aussitôt après ?

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Les commentaires :

 
Je tiens avant toute chose de remercier ma meilleure amie de m’avoir conseillé ce pavé en me le rappelant assez régulièrement. Après deux ans, j’ai finalement décidé de le lire et j’ai été impressionné par le talent d’Anne Rice. Je l’écouterai donc un peu plus souvent. Ce livre, sur Amazon est très discuté, les avis vont de médiocres à chef d’œuvre mais quel est le mien ? Je vous laisse, maintenant, découvrir ma chronique.  Tout d’abord, nous avons une histoire qui, on peut le dire, est démontrée. Une fois n’est pas coutume, j’ai délaissé mon action pour goûteur à la lenteur de ce type de récit. En effet, lorsque l’on veut prouver la teneur de ses propos, cela prend plus de temps. Ainsi, nous étions embarqués pour un récit dont le nombre de pages étaient assez conséquent. Lorsque l’on démontre, il n’y pas d’action et nous nous retrouvons sur un rythme plus lent sur le point de vue des péripéties (mais assez rapide sur l’intellectuel). En temps normal, j’aurais vu cela dans un récit et je l’aurais directement laissé sur le côté mais ce roman présentait quelque chose de plus dans sa démonstration. Elle était accordée sur le même rythme que l’histoire. Ainsi, le récit était la découverte d’une famille riche aux pouvoirs surnaturels et les preuves apportées étaient mystérieuses et riche historiquement. Dès lors, ce récit plus lent est acceptable et nous pouvons, pour une fois, délaisser notre action chérie. Dans les autres livres, nous avons soit une histoire qui n’est pas accordée sur nos goûts personnels et la démonstration ne l’est pas. Soit, nous accrochons à l’histoire mais la démonstration joue des notes différentes. Dans les deux cas, nous ne pouvons apprécier le livre. L’auteure, fine de la plume, a su nous raconter et nous démontrer une histoire en même temps, elle n’a pas favorisé l’un ou l’autre.
Ensuite, nous avons plusieurs histoires imbriquées dans une autre. En effet, nous avons l’histoire principale avec Rowan mais nous avons une description de son passé qui prend énormément de pages également. Cela fait bien entendu partie de la démonstration et on pourrait croire que j’écris deux arguments sur le même point mais cela est faux. Dans le premier argument, je traitais de la démonstration qui était faite à partir de son passé mais là, je parle de l’histoire de ce passé décrit par le talent d’Anne Rice. Chaque aïeul est présenté avec des anecdotes qui permettent de le cerner mais également de mieux connaître sa descendance. Nous sommes pris dans un engrenage généalogique dans lequel nous nous amusons à tracer l’arbre familial aux mille branches feuillues. Outre ce petite jeu que l’on se donne, nous apprécions la découverte de chaque personnage même si, dans le présent, ils ne jouent pas de rôles très importants, voire quasiment inexistants. Chaque personne incarne, en fait, une histoire qui est elle-même imbriquée dans l’histoire familiale de la famille. C’est un peu comme les poupées russes. A chaque descendance, la fille a, en elle, une poupée de plus et chaque génération augmente cette construction d’une poupée englobant toutes les autres et ce récit fait que nous ouvrons chacune d’entre elles pour observer le trésor qui se cache dedans, un trésor empoisonné ou merveilleux. Nous ne le savons point mais nous prenons le risque de le déterrer.
Pour terminer, avec ce livre, nous entrons dans du fantastique et non du bit-lit, genre littéraire avec des héros surnaturels (vampires, loups garous…) destiné aux femmes. Je n’attaque pas ce genre, je le trouve assez intéressant mais parfois, on aime lire quelque chose de plus sombre, de plus maléfique où l’amour ne règne pas en maître. C’est ce que nous avons avec ce récit. Anne Rice met en scène des sorcières et des esprits ainsi qu’une relation amoureuse entre deux personnages mais sans entrer dans les critères de la bit-lit. Nous pouvons plonger dans le gouffre ténébreux du genre fantastique, nous pouvons apprécier d’avoir cette peur qui monte en nous, qui naît dans nos entrailles. Nous pouvons apprécier les éléments maléfiques de l’histoire car nous savons que ce roman est diabolique contrairement au bit-lit.  En conclusion, j’ai aimé ce premier tome qui était quand même assez long et je pense que je terminerai la saga directement, ne prenant pas le second car pour moi, je risque de perdre cette magie si je lis le second tome. 
Les lectures de Kevin
http://leslecturesdekevin.blogspot.be/
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