| Date france : |
2011.05 |
| Editeur : | |
| ISBN : |
9782226221384 |
Eleven
2011
5½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 5½ h pour lire ce livre.
Temps restant en fonction de l'avancement :
| 11 % | 29 % | 46 % | 64 % | 82 % |
| 5 h | 4 h | 3 h | 2 h | 1 h |
La nuit, Xavier Ireland anime avec passion une émission de radio pour les Londoniens, à l’écoute de leurs espoirs, leurs peurs, leur doutes. Le jour, c’est un solitaire, un homme volontairement coupé du monde. Jusqu’à sa rencontre avec une femme de ménage peu ordinaire qui va l’obliger à se confronter aux fantômes de son passé. Qu’il le veuille ou non, le destin de Xavier est lié à celui des autres, et le plus infimes de ses actes peut déclencher une série d’événements susceptibles d’affecter inéluctablement la vie de onze de ses concitoyens. Il y a au moins onze bonnes raisons de lire le roman élégant, subtil et désespérément drôle (pour n’en citer que trois) du comédien anglais Mark Watson. Libre à vous de découvrir les autres !
L’anglais Mark Watson est célèbre pour ses one-man-show couronnés de nombreux prix. Eleven est son premier roman traduit en français.
L’anglais Mark Watson est célèbre pour ses one-man-show couronnés de nombreux prix. Eleven est son premier roman traduit en français.
Les commentaires :
oujette
2013-07-22 22:45
Après un démarrage un peu long... (je ne voyais pas où voulait en venir l’auteur), j’ai fini par me prendre au jeu de l’effet papillon. Car c’est bien de cela dont il est question: comment l’action (ou la non-action dans ce cas-là ) d’un homme ordinaire, va perturber la vie de plusieurs autres, en bien ou en mal, à plus ou moins long terme. Les personnages sont attachants, Xavier et sa femme de ménage surtout ; les évènements s’enchaînent bien, on sourit de l’absurdité de la vie, de l’engrenage du hasard, de la simplicité avec laquelle les choses peuvent mal tourner, ou changer une vie, ou faire se rencontrer des gens. On comprend aussi que fermer les yeux sur les autres n’entraîne rien de bon, que s’occuper des affaires des autres a parfois de bons côtés. J’ai aimé la fin, malgré sa rapidité et sa brutalité mais au fond, comme tout le reste, c’était écrit d’avance....