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Au cœur des ténèbres de Joseph Conrad
Date france :
2008
Editeur :
ISBN :
9782862607085
Licence :
70ans
Cette œuvre, au moins dans sa langue originale, est dans le domaine public pour les pays où la durée est fixée à 70 ans après la mort de l'auteur. (dont la France)

Au cœur des ténèbres

2008
2½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 2½ h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

23 %62 %
2 h1 h
 
 
Au coeur des ténèbres, la nouvelle la plus célèbre de Conrad, est le récit d’une descente aux enfers. Officier de la marine marchande britannique, le jeune capitaine Marlow part à la recherche de Kurtz, un chasseur d’ivoire qui a disparu dans la brousse africaine. A mesure que Marlow remonte le fleuve Congo pour retrouver ce personnage au sujet duquel circulent d’étranges rumeurs, il s’aventure dans les ténèbres : celles d’une nature hostile où, loin de toute civilisation, résonnent les cris inquiétants des sauvages” ; celles de l’âme humaine, dont la noirceur n’a d’égal que le mystère. Au-delà de la peinture d’une triste réalité coloniale dont Conrad fut le témoin, ces pages d’une sombre magnificence, qui ont inspiré le film Apocalypse Now de Francis Ford Coppola, sondent la part obscure qui sommeille en chacun de nous, et questionnent le rapport de l’homme au mal.
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Les commentaires :

 
Si cette longue nouvelle est connue pour narrer la noirceur de l’être humain abandonné dans la noirceur de la jungle occulte peuplée d’indigènes trop noirs pour un Européen du 19ème siècle, je suis pour ma part complètement passée à côté. Décrit comme monumental, riche (ça, je ne le nie pas) et surtout puissant, montrant la folie qui gagne les hommes à mesure qu’ils s’éloignent de l’embouchure du fleuve et ne perçoivent plus la lumière du jour même à midi ; racontant les sauvages, le cannibalisme, le fanatisme ; approchant la déshumanisation et la terreur intérieure... cette nouvelle a de quoi en dépasser plus d’un qui s’aventurerait dans sa lecture sans être dans un mode particulier. L’écriture et la forme n’aident pas franchement à s’investir (certaines descriptions restent néanmoins très fortes), et finalement il faut vraiment lire cette histoire uniquement parce qu’on en a envie.
De mon côté je n’ai pas vraiment été subjuguée par l’histoire, ni n’ai vraiment été arrachée par cette noirceur constamment citée, ni n’ai adhéré au principe même du voyage dans l’inconnu végétal (thème surfait aujourd’hui mais ô combien d’actualité à l’époque, pour tous ceux qui cherchaient l’aventure et l’exploration mais ne savaient plus où la trouver tant tous les continents avaient déjà été trouvés), ni n’ai aimé cette vision (contemporaine de l’époque, je le conçois pourtant bien) de l’homme sauvage et esclave noir, caricaturé par le cannibalisme, habillé par des peaux de bananes (j’exagère mais si peu), pas “civilisé” pour un sou qui attaque avec ses flèches à qui mieux mieux.
La lecture en français aurait-elle aidé ? Sans doute, certainement, pour sûr un peu. Mais en croisant par-ci par-là au détour de recherches certaines phrases traduites en français, le style n’en est pas moins ardu (en même temps, c’est un signe que le traducteur a bien fait son boulot) et la narration pas plus appréciable.
Aussi, beaucoup de similitudes sur les thèmes abordés avec d’autres ouvrages tels que L’Île du Docteur Moreau d’H.G. Wells, publié en outre à peine trois ans avant, font que peut-être une lassitude s’installe, à force de lire les mêmes choses abordées plus ou moins de la même façon. On peut se plaindre de la littérature moderne répétitive, la littérature classique n’est pas à l’abri d’une telle considération ! Bien d’autres auteurs classiques ont tenté de faire du réchauffé d’autres œuvres et ça sentait le presque plagiat aussi à l’époque ! Mais je dérive...
Si j’ai ouvert ce livre, c’est pour la culture, pas parce que ça m’intéressait. Attention, ce piège peut parfois se payer cher, ne faites pas la même erreur que moi.
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