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Heureux sans Dieu ni religion de Michel Piquemal
Date france :
2016.09.20
Editeur :
ISBN :
9791090685741

Heureux sans Dieu ni religion

2016
1½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 1½ h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

35 %
1 h
 
 
« On ne peut rester indifférent devant le retour en force des intégrismes qui voudraient nous plonger dans les ténèbres. J’ai donc tenté de mettre en pleine lumière ce que peuvent être les valeurs et les convictions d’un athée laïque. » De manière parfaitement documentée, Michel Piquemal apporte ici les arguments de réfutation aux croyances et explique pourquoi, malgré tout, tant de gens ne peuvent s’empêcher de croire. Dans une démonstration enthousiaste et positive, il consolide le socle de valeurs humanistes sur lequel s’appuie l’athéisme, et montre combien les religions ont été

Les commentaires :

 
Un essai. Je ne suis pas habitué à lire ce genre d’écrits plus intellectuels et souvent, plus barbants. Ne nous cachons pas, un essai n’est pas un roman. Si nous avons les mêmes attentes entre les deux écrits, l’un deux va nous décevoir. Comme vous le savez, je ne suis pas un grand expert en essais pourtant, lorsque l’on m’a proposé celui-là, je ne pouvais pas refuser. Le thème abordé me touche fort car j’en ai déjà parlé l’an passé, lors de mes cours. De plus, c’est un sujet très répandu et très intéressant. J’ai donc trouvé la lecture de cet écrit intéressante. 
Tout d’abord, cela m’a permis d’avoir un point de vue d’un athée convaincu, d’une personne avec une personnalité différente. Cet échange d’idées, d’informations permet d’élargir son champ de vision par rapport à cette problématique. Nous découvrons ainsi des pistes inexplorées, cachées par notre subjectivité et pouvons les analyser sous un jour nouveau, avec l’aide de notre ami explorateur et auteur. Un roman est déjà le partage de la vision du monde de l’auteur, vision qu’il n’est pas très facile, dans certains cas, d’analyser car nous ne sommes pas un grand adepte du genre et n’avons donc pas les clés pour décrypter le message de l’auteur ou tout simplement, l’auteur n’a pas voulu donner son opinion sur le monde. Lorsqu’il s’agit d’un essai, l’auteur partage son opinion également et de manière beaucoup plus complète. Il y’a beaucoup moins de non-dits, d’interprétations. Tout est écrit noir sur blanc. Lorsqu’il s’agit d’un essai complet avec thèse, antithèse, suivant le schéma classique d’un tel débat, nous avons toute une panoplie d’arguments mais savons lesquels appartiennent réellement aux convictions de l’auteur et pouvons essayer d’interagir sauf que c’est plus dur vu qu’il englobe également son avis contraire. Lorsqu’il s’agit, comme ici, d’un essai subjectif, nous savons les pensées de l’auteur et avons un plus grand pouvoir d’interaction. Pendant notre lecture, nous pouvons être d’accord avec certains passages ou nous révolter par rapport à d’autres.  Ensuite, j’ai dit que le sujet était un thème très intéressant et je le pense sincèrement. Beaucoup d’entre vous pourraient croire, qu’à l’énoncé de la croyance envers Dieu, nous tombons obligatoirement dans un thème passé, démodé mais peu se doutent que c’est un sujet d’actualité. Lorsque l’on a demandé à Einstein s’il croyait en Dieu. Il a répondu : « Définissez-moi d’abord ce que vous entendez par Dieu et je vous dirai si j’y crois ». Beaucoup de gens se déclarent croyants ou non-croyants en Dieu mais ne savent pas le définir. C’est en s’intéressant à cette définition, et avec un peu de réflexion, que nous pouvons nous faire une image de ce qu’est réellement la réponse à cette question. Cette interrogation, je l’ai travaillée durant quelques mois, lors de mon apprentissage scolaire et en cours de religion. C’était donc un sujet qui me prenait vraiment à cœur et m’intéresser à l’avis d’autres personnes, ne croyant pas comme moi, me permet d’analyser leurs idées sur ce thème. C’est un peu comme prendre votre passion. Vous avez votre idée dessus, vous savez ce que vous en pensez mais lorsque vous entendez quelqu’un d’autre en parler, vous tendez l’oreille vers cette personne pour écouter ses propos.   Pour terminer, selon mon avis personnel et le fruit de ma réflexion par rapport à cette question, l’auteur attaque trop l’Église et sa vision de Dieu qui est démodée, qui a évolué. À de nombreuses reprises, l’auteur comparait certains éléments avec une religion moyenâgeuse. Or, cette époque est révolue et nous devons regarder le présent. C’est un peu comme si toutes les erreurs de la religion devaient être montrées du doigt. Les temps ont changé. Revenir dans le passé ne sert strictement à rien. Je n’essaie pas de défendre la religion ou d’attaquer l’athéisme. Je prends seulement des exemples de la vie de tous les jours. Imaginez-vous avec un ami. Cet ami a fait des conneries dans le passé. Or, vous n’allez pas lui rappeler sans cesse ses erreurs car cela fait partie de son passé et qu’il vit dans le présent. Il ne les fait plus. Il avance. Si on veut vraiment attaquer cet ami, il faut analyser ses erreurs présentes car le reste a perdu valeur et crédibilité. La religion catholique a plus de 3000 ans. En 20 ans de vie, j’ai déjà fait de nombreuses bêtises. Je ne dis pas si j’avais vécu 150 fois plus longtemps… C’est peut-être le seul petit point noir de cet essai, à mes yeux.  En conclusion, j’ai trouvé cet essai assez agréable à lire, pas trop compliqué et expliquant le point de vue de l’auteur avec perfection. 
Les lectures de Kevin
http://leslecturesdekevin.blogspot.be/
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