NousLisons.fr

Tout pour trouver votre prochaine lecture !

Connexion...
Pseudo :
Passe :
Connexion permanente :
Cocher cette case pour que votre connexion soit conservée même si vous fermez votre navigateur (pendant 3 mois).
Important : Ne la cochez pas si vous êtes plusieurs à utiliser cet ordinateur.
Nouveau passe Créer un compte
Jeux Dons Lecteurs Partenaires Blog
Coulez mes larmes, dit le policier de Philip K. Dick
Date france :
1975.01
Date origine :
1974
Editeur :
ISBN :
2702403441

Coulez mes larmes, dit le policier

1975
5 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 5 h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

20 %40 %60 %80 %
4 h3 h2 h1 h
 
 
Ceci est l’histoire d’un homme dont tout le monde semble avoir oublié l’existence et l’identité.
La veille encore, il était Jason Taverner, producteur de télévision respecté, chanteur à ses heures et idole d’au moins trente millions de téléspectateurs. Mais lorsqu’il s’éveille dans une chambre sordide un matin, il semble être le seul être humain au monde à savoir qui était - qui avait été - Jason Taverner. Ses amis, ses collaborateurs, et même Heather, sa maîtresse et complice de toujours, affirment ne jamais l’avoir rencontré. Une situation embarrassante dans un monde où les campus sont assiégés depuis vingt ans et où le défaut de papiers d’identité suffit à vous envoyer au bagne. Mais c’est un Six. Ses gènes sont spéciaux. Il a des nerfs d’acier. Et si le monde entier a basculé dans la folie ou dans l’absurde, il va le remettre à l’endroit. Sous l’œil blasé du policier sentimental.

Les commentaires :

 
Lire la postface d’Etienne Barillier aide peut-être à contextualiser l’écriture et à mieux appréhender le contenu, il n’empêche que cet opus de Philip K. Dick (mon quatrième après Les Marteaux de Vulcain, Ubik et Le Maître du Haut-Château) a tout autant de quoi frustrer et décevoir que d’autres.
On retrouve dans celui-ci la même façon un peu lourdingue d’écrire en italique les pensées des personnages, comme dans Le Maître.... Le masochisme est flagrant. Les évènements s’enchaînent parfois à une vitesse dure à suivre, voire absurde. Les liens de cause à effet restent souvent très personnels. Les mentions technologiques sont généralement confuses et les concepts futuristes flous. De nombreux longs dialogues abordent le thème de l’amour sous divers aspects mais presque toujours comme un cheveu sur la soupe. Et plus que tout, il faut attendre la moitié du récit pour commencer à voir une once de science-fiction intéressante (quand Taverner rencontre Buckman et que celui-ci lui dit qu’il est un Sept), sauf que même là, le soufflé retombe aussi vite qu’il est monté car, comme dans Le Maître... encore une fois, l’auteur ne fait que frôler une idée intéressante sur laquelle il ne surfe pas au bout du compte. C’est ça qui est très frustrant avec certains des récits de Dick, dont le potentiel pour aller plus loin est quasi constant mais jamais utilisé.
Ce livre m’est beaucoup passé au-dessus justement parce que je m’attendais à autre chose, à un mystère plus profond et poussé (l’explication de l’aventure de Taverner a quand même pas mal de quoi laisser pantois), à une thématique plus centrée sur la science-fiction, et surtout pas à une fin aussi expéditive et éloignée de l’objet initial (néanmoins présumé par votre humble serviteuse). Je n’étais également pas venue pour des considérations sur l’amour à l’aide d’un personnage masculin aussi dédaigneux des femmes.
Bref, je ne suis pas sûre de renouveler l’expérience sur du Dick. Au moins, dans mon voyage, aurai-je découvert Ubik, bien plus savoureux que les autres...
http://livriotheque.free.fr/
http://www.facebook.com/malivriotheque
https://www.youtube.com/channel/UC3O1fss1MLBb5l_M85Z809A
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
Accueil Jeux ebooks Gratuits Lecteurs FAQ Partenaires Contact Dons
(c) NousLisons.fr 2012-2024