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Mais c'est à toi que je pense de Gary A. Braunbeck
Date france :
2010.04.16
Editeur :
ISBN :
9782352943860

Mais c'est à toi que je pense

2010
6½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 6½ h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

2 %18 %35 %51 %67 %84 %
6 h5 h4 h3 h2 h1 h
 
 
Pour Thomas, Arnold, Rebecca et Christopher, c’est la fin du supplice. Ils viennent d’échapper à leur tortionnaire, un tueur en série pédophile qui les séquestrait depuis des années. Mais une nouvelle épreuve les attend: et si on les avait oubliés? et si on ne les aimait plus? Horriblement défigurés et mutilés, ils ont besoin d’un adulte pour les ramener à leurs parents, que certains n’ont pas vus depuis dix ans... et ils ont choisi Mark.

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Les commentaires :

 
Il faut avoir le coeur bien accroché pour certains passages... Mais ce livre m’a beaucoup plu.
 
Ce livre fait parti de ceux que je me suis offerts à bas prix lors de l’opération Bragelonne de 3 jours, bradant les prix de certains de leurs ouvrages à 0,99€, pour fêter leurs 300000 ventes ! Je l’ai donc lu à partir de la version numérique. Et à la fermeture du fichier, je crois que mon avis est assez mitigé, mais plutôt positif quand même. Déjà, comme on s’en doute avec le résumé, l’histoire n’est pas de très bon goût. Il faut avoir le cœur bien accroché, certains passage vous prenant aux tripes au point que je me suis demandée par moment si je n’étais pas complètement maso de continuer à lire ce livre et d’hésiter à l’abandonner. Les descriptions sont parfois dures, on tombe facilement dans le gore, mais ça ne me semble pas pour autant exagéré. Néanmoins, j’ai été un peu perplexe sur la réalisme de cette histoire. En effet, les enfants sont plus ou moins défigurés et utilisent des prothèses en latex et de la colle gomme afin de se donner un visage normal, je dirais même banal pour ne pas attirer l’attention. On apprend très vite qu’ils ont besoin de retirer tout ce maquillage environ toutes les 5 heures car cela devient douloureux et abîme le peu de peau intacte qu’il leur reste. Or on en parle au début de l’“aventure” et puis c’est tout, on a l’impression qu’ils gardent tous leur “masque” pendant tout le temps que dur l’histoire, et elle dure bien plus de 5 heures ! Toujours côté réalisme, je me suis longuement demandé si ces histoires de mutilations étaient vraiment plausibles. Est-ce que l’auteur a grandement exagéré ce fait, ou bien est-ce mon esprit qui refuse tout simplement qu’une telle horreur puisse être vraie ? (Soit dit en passant, je vivrai très bien sans connaître la réponse à cette question...) Un point qui m’a pas mal déplu, ce sont les deux premiers chapitres. Avant le chapitre 3, on passe du coq à l’âne, sans qu’on sache pourquoi, et franchement j’étais complètement perdue au début. Je me suis même demandée un instant si je n’avais pas un bug avec mon fichier ! Alors autant pour le premier chapitre je peux plus ou moins comprendre pourquoi l’auteur l’a fait, même si je ne suis franchement pas fan de ce genre de procédé, autant pour le chapitre 2 je n’arrive vraiment pas à comprendre, même en retournant dans tous les sens. Roci m’a soufflé à l’oreille que c’était peut-être pour montrer la confusion du narrateur. Mais je ne suis loin d’être convaincue de l’effet. En revanche, il faut avouer que c’est vraiment bien écrit. On ne s’ennuie pas, on est généralement pris dans le feu de l’action ou du récit des personnages, et on s’attache incroyablement vite à ces enfants. Du coup, lorsqu’il arrive quelque chose à l’un d’eux ou que c’est l’heure des adieux, il devient difficile de retenir les petites larmes qui menacent de glisser au coin de l’œil. Et cette culpabilité... Le lecteur n’a rien fait de mal pour mériter des accusations, pourtant, l’indifférence dont on fait tous preuve face aux avis de recherche, en se disant juste “oh la pauvre famille” parce qu’un enfant a disparut, et qu’on oublie quelques minutes plus tard, nous est balancé à la gueule presque comme si nous étions sur le banc des accusés. Bref, ce livre n’est pas fait pour tous les yeux et esprits, il est dur, horrible même, mais reste très intéressant pour son côté psychologique.
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