« Pendant les quatre premières années de ma vie, tant qu’il vécut, je ne fus pas Ti Jean Duluoz, je fus Gérard, le monde fut son visage, la fleur de son visage, sa pâleur, son corps voûté, la façon qu’il avait de vous briser le cour, sa sainteté et les leçons de tendresse qu’il me donnait…