Parce que c’était lui, parce que c’était elle : le chant de deux cœurs à l’unisson.
« Pour moi, le paradis, c’est la cloche qui annonce le début d’un match de free fight, l’adrénaline qui monte, la sueur qui me brûle les yeux et le feu qui coule dans mes veines. C’est la foule indistincte…