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Liste des livres

Évasion du couloir de la mort de Edward Bunker
2012
Edward Bunker
Policier
4½ h
Recueil de nouvelles.
Chez les dingues, j’ai soulevé tous les givrés et déclenché une insurrection. On m’a expédié en prison. Là, on savait qui j’étais... Tout ça se termine quand je me fais la belle la nuit pendant que les émeutes de Watts battent leur plein. Alors vous la voulez cette histoire ?
C’est en ces termes qu’Edward Bunker présente ses nouvelles, inspirées directement de ses dix-huit années d’incarcération. On y découvre comment un employé de garage peut se retrouver dans le couloir de la mort après avoir « emprunté » une voiture - le fait qu’il soit noir n’étant évidemment pas étranger à l’affaire. On y suit aussi l’improbable odyssée de plusieurs évadés de ce même couloir de la mort, le temps de croire à l’impossible. On comprend surtout que, de 1927 à nos jours, le scénario du pire est toujours à l’œuvre en Amérique.
Edward Bunker Edward Bunker (1933-2005) connut des années de prison avant de se voir publier. Il est l’auteur de la célèbre « Trilogie de la Bête ». Sa réflexion sur l’univers carcéral, la discrimination raciale et la peine de mort, encore appliquée par trente-cinq États, demeure d’une grande actualité.
Il a joué des rôles secondaires dans certains films, notamment Le Récidiviste, avec Dustin Hoffman inspiré de son roman Aucune bête aussi féroce, et Reservoir Dogs, de Quentin Tarantino.
Stark de Edward Bunker
2008
Edward Bunker
Policier
3½ h
De tous tes mecs qu’on peut un jour croiser sur sa route, Ernie Stark n’était pas, et de loin, le plus gentil.
Petit arnaqueur qui rêve de grandeur, gros consommateur de drogue et trafiquant occasionnel, homme au sang froid, Stark est quelqu’un dont il faut se méfier. D’autant plus qu’il a eu la malchance de se faire serrer par le lieutenant Crowley, alors qu’il était en liberté conditionnelle. Il ne pourra plus s’en sortir qu’en sacrifiant son pote Momo, un dealer dont il rêverait de prendre la place. Mais même pour un spécialiste de l’embrouille comme Stark, les choses se passent rarement comme prévu. Coincé entre un chef de réseau menaçant et un flic qui ne le lâche pas, il va devoir improviser. Quitte à laisser des victimes derrière lui Dans ce monde, pour survivre il faut avoir une longueur d’avance.
L'Éducation d'un malfrat de Edward Bunker
2005
Edward Bunker
Littérature américaine
12 h
Comment croire qu’un taulard qui passa dix-huit années de sa vie derrière les barreaux soit devenu l’une des voix importantes de la littérature américaine, un auteur reconnu par ses pairs, entre autres James Ellroy et William Styron ? C’est ce miracle que tente d’expliquer Bunker dans cette autobiographie riche en expériences extrêmes et contrastées, où l’on passe des quartiers de haute sécurité au monde des stars d’Hollywood avec leurs villas et leurs piscines de rêve. Portrait d’une époque et d’un milieu, réflexion non manichéenne sur les conflits raciaux et questionnement de la justice américaine, L’Education d’un malfrat n’est pourtant pas un livre " militant “. C’est avant tout le récit d’une aventure humaine bouleversante, un livre qui s’adresse à chacun d’entre nous.
Les hommes de proie de Edward Bunker
1999
Edward Bunker
Policier
6½ h
Troy, Diesel et Mad Dog, anciens taulards qui ont fait leurs classes ensemble, de la maison de correction au pénitencier de San Quentin, décident de renouer avec le crime. Troy a l’idée de s’attaquer aux gangsters et aux trafiquants de drogue en partant du principe que des hors-la-loi n’iront jamais mêler la police à leurs affaires.
La bête au ventre de Edward Bunker
1993
Edward Bunker
Policier
10 h
Alex est né sous une mauvaise étoile. Sa mère l’a abandonné et son père a dû le confier à des foyers d’adoption, écoles militaires et autres pensionnats. Commence alors pour lui « le cycle des laideurs, des tumultes et des larmes », qui l’amènera, de révoltes en évasions, à connaître la répression sous toutes ses formes. Encore adolescent, Alex est déjà un « taulard » endurci qui vit la bête au ventre et la rage au cœur.
La Bête au ventre conclut la trilogie commencée avec Aucune bête aussi féroce et La Bête contre les murs. Edward Bunker y analyse le processus qui conduit la société à se fabriquer les criminels qu’elle mérite.
« La Bête au ventre est le plus beau livre d’Edward Bunker. Un authentique chef-d’œuvre de notre littérature. » (Richard Stratton, auteur de l’Idole des camés).
Edward Bunker Edward Bunker (1933-2005) connut des années de prison avant de se voir publier. Il est l’auteur de la célèbre « Trilogie de la Bête » Sa réflexion sur l’univers carcéral, la discrimination raciale et la peine de mort, encore appliquée par trente-cinq États, demeure d’une grande actualité.
Il a joué des rôles secondaires dans certains films, notamment Le Récidiviste, avec Dustin Hoffman inspiré de son roman Aucune bête aussi féroce, et Reservoir Dogs, de Quentin Tarantino.
La Bête contre les murs de Edward Bunker
1992
Edward Bunker
Policier
6 h
Lorsqu’il arrive à San Quentin, Ronald Decker est “jeune et paraît encore plus jeune qu’il ne l’est en réalité”. Earl Copen, lui, y purge sa troisième peine d’emprisonnement. Emu par Ron, en qui il se retrouve, il lui apprend à survivre dans un lieu où la raison du plus fort est toujours la meilleure, où la haine raciale est exploitée par une administration défaillante et où la mort paraît la seule issue possible.
La Bête contre les murs a été porté à l’écran par Steve Buscemi avec Willem Dafoe, Edward Furlong, Mickey Rourke... et Edward Bunker.
Aucune bête aussi feroce de Edward Bunker
1991
Edward Bunker
Policier
8 h
Le discret Mister Blue de Reservoir Dogs eut une vie avant d’étaler son faciès vérolé sur le grand écran. Bunker, le bien nommé, était l’auteur d’un traité postcarcéral sans égal publié en 1973 et alors épuisé outre-Atlantique. L’une de ces vraies fausses autobiographies qui ne s’encombre d’aucune couenne littéraire. La chair, les os et les tripes suffisent à faire de ce roman noir un aller simple pour l’enfer d’une vie toute tracée dès le berceau. Un parcours horriblement classique, balisé et implacable : problèmes familiaux, délinquance juvénile et au bout une succession de séjours “au château”... Rien de vraiment neuf, si ce n’est la violence aride, impitoyable, voire clinique, avec laquelle Edward Bunker décrit le quotidien du taulard en liberté conditionnelle et, surtout, l’impossibilité de modifier, voire seulement de rectifier une destinée ou de réécrire ce scénario. Son héros, Max Dembo (Bunker lui-même, évidemment), s’applique ainsi consciencieusement en sortant de prison à ne pas s’engouffrer dans les culs-de-sac de son passé. Mais le milieu et la prison sont des aimants dont on n’interrompt pas l’attraction à coup de rédemption. La cavale se fait alors allégorique, avec un terminus on ne peut plus kafkaïen.
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