A l’époque du bienheureux Al Capone, l’Amérique connu “la guerre des gangs”.
Le conflit a fait moins de victimes que celui de 14-18, toutefois, Il a été sévère. En ce temps-là, quand tu dérapais sur un trottoir, c’était dans une flaque de sang plutôt que sur une peau de banane. Y avait des flingueurs partout dans les restaurants, les cinoches, les églises, les pissotières et les rues, surtout ! On croyait ces fantaisies révolues. Fume, mon grand, fume Voilà que, sous une autre forme, tout recommence. En gigantesque ! En omniprésent ! En plus qu’impitoyable !
Le “Consortium “, ça s’appelle, cette vérolerie. Et moi, le Sana-joli, avec mon courage démentiel et ma belle bitoune toujours prête. je m’attaque à cette hydre !
Malheur de mes os ! A compter de cet instant, il m’arrive les pires trucs et je marche sur un tapis de cadavres. Tout s’écroule autour de ma pomme. Apocalypse intégrale La mort, l’horreur, la folie ! Le bout du bout, quoi !