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Liste des livres

Le Couronnement de Boris Akounine
2007
Eraste Pétrovitch Fandorine (7)
Boris Akounine
Policier
8 h
Une semaine avant le couronnement de Nicolas II, son cousin, le jeune prince Mikhaïl Guéorguiévitch, est enlevé en plein jour à Moscou par les sbires du démoniaque docteur Lind. Ce sinistre personnage réclame en rançon le célèbre Orlov, l’énorme diamant qui orne le sceptre impérial... Non seulement la vie d’un enfant est en jeu, mais aussi le prestige des Romanov et l’avenir de la monarchie! Eraste Pétrovitch Fandorine, détective privé au service des grands de ce monde, est chargé de l’enquête. Depuis des mois déjà, il traque sans relâche l’odieux criminel à travers la planète, mais, cette fois, il n’a pas le droit à l’erreur. Avec l’aide du fidèle Massa, son serviteur japonais, Fandorine s’engage dans une périlleuse course contre-la-montre, sans doute la plus risquée de toute sa carrière.
 
 
Une histoire populaire de la France : De la Guerre de Cent Ans à nos jours de Gérard Noiriel
2018
Gérard Noiriel
Essai
16 h
« En 1841, dans son discours de réception à l’Académie française, Victor Hugo avait évoqué la “populace” pour désigner le peuple des quartiers pauvres de Paris. Vinçard ayant vigoureusement protesté dans un article de La Ruche populaire, Hugo fut très embarrassé. Il prit conscience à ce moment-là qu’il avait des lecteurs dans les milieux populaires et que ceux-ci se sentaient humiliés par son vocabulaire dévalorisant. Progressivement le mot “misérable”, qu’il utilisait au début de ses romans pour décrire les criminels, changea de sens et désigna le petit peuple des malheureux. Le même glissement de sens se retrouve dans Les Mystères de Paris d’Eugène Sue. Grâce au courrier volumineux que lui adressèrent ses lecteurs des classes populaires, Eugène Sue découvrit les réalités du monde social qu’il évoquait dans son roman. L’ancien légitimiste se transforma ainsi en porte-parole des milieux populaires. Le petit peuple de Paris cessa alors d’être décrit comme une race pour devenir une classe sociale. »
La France, c’est ici l’ensemble des territoires (colonies comprises) qui ont été placés, à un moment ou un autre, sous la coupe de l’État français. Dans cette somme, l’auteur a voulu éclairer la place et le rôle du peuple dans tous les grands événements et les grandes luttes qui ont scandé son histoire depuis la fin du Moyen Âge : les guerres, l’affirmation de l’État, les révoltes et les révolutions, les mutations économiques et les crises, l’esclavage et la colonisation, les migrations, les questions sociale et nationale. Historien, directeur d’études à l’EHESS, Gérard Noiriel a notamment travaillé sur l’articulation de l’immigration, de la nation et des sentiments xénophobes. Il livre avec cette Histoire populaire de la France la synthèse de toute une vie de recherches et d’engagements.
 
 
Les Mystères de Paris de Eugène Sue
1843
Les Mystères de Paris (1)
Eugène Sue
Roman Histo
8 h
« Il y a dans Les Mystères de Paris une énergie sauvage : celle d’une cohorte de personnages maléfiques, malfrats hideux comme la Chouette, Tortillard, le Maître d’école ou Bras-Rouge, criminels du grand monde comme le comte de Saint-Remy, monstres hypocrites comme le notaire Jacques Ferrand. Eugène Sue n’est pas avare de noirceur. Mais il y a aussi une sauvagerie du Bien, celle de Rodolphe, prince mélancolique venu à Paris à la recherche de sa fille perdue, impitoyable avec les méchants qu’il punit au mépris des lois. On doit à sa cruauté quelques-unes des scènes les plus stupéfiantes du roman. Cette cruauté contraste avec la pureté morale de Fleur-de-Marie, comme avec la face solaire de Rodolphe, providence de tous les malheureux honnêtes dont il croise le chemin.
Le roman exprime dans son ensemble une quête assoiffée de régénération morale de la société, par l’amélioration des mécanismes préventifs et répressifs ainsi que par l’invention de mécanismes d’incitation au Bien qui doivent récompenser publiquement les actions exemplaires. »
 
 
Les Mystères de Paris de Eugène Sue
1843
Les Mystères de Paris (2)
Eugène Sue
Roman Histo
8½ h
« Il y a dans Les Mystères de Paris une énergie sauvage : celle d’une cohorte de personnages maléfiques, malfrats hideux comme la Chouette, Tortillard, le Maître d’école ou Bras-Rouge, criminels du grand monde comme le comte de Saint-Remy, monstres hypocrites comme le notaire Jacques Ferrand. Eugène Sue n’est pas avare de noirceur. Mais il y a aussi une sauvagerie du Bien, celle de Rodolphe, prince mélancolique venu à Paris à la recherche de sa fille perdue, impitoyable avec les méchants qu’il punit au mépris des lois. On doit à sa cruauté quelques-unes des scènes les plus stupéfiantes du roman. Cette cruauté contraste avec la pureté morale de Fleur-de-Marie, comme avec la face solaire de Rodolphe, providence de tous les malheureux honnêtes dont il croise le chemin.
Le roman exprime dans son ensemble une quête assoiffée de régénération morale de la société, par l’amélioration des mécanismes préventifs et répressifs ainsi que par l’invention de mécanismes d’incitation au Bien qui doivent récompenser publiquement les actions exemplaires. »
 
 
Les Mystères de Paris de Eugène Sue
1843
Les Mystères de Paris (3)
Eugène Sue
Roman Histo
8 h
« Il y a dans Les Mystères de Paris une énergie sauvage : celle d’une cohorte de personnages maléfiques, malfrats hideux comme la Chouette, Tortillard, le Maître d’école ou Bras-Rouge, criminels du grand monde comme le comte de Saint-Remy, monstres hypocrites comme le notaire Jacques Ferrand. Eugène Sue n’est pas avare de noirceur. Mais il y a aussi une sauvagerie du Bien, celle de Rodolphe, prince mélancolique venu à Paris à la recherche de sa fille perdue, impitoyable avec les méchants qu’il punit au mépris des lois. On doit à sa cruauté quelques-unes des scènes les plus stupéfiantes du roman. Cette cruauté contraste avec la pureté morale de Fleur-de-Marie, comme avec la face solaire de Rodolphe, providence de tous les malheureux honnêtes dont il croise le chemin.
Le roman exprime dans son ensemble une quête assoiffée de régénération morale de la société, par l’amélioration des mécanismes préventifs et répressifs ainsi que par l’invention de mécanismes d’incitation au Bien qui doivent récompenser publiquement les actions exemplaires. »
 
 
Les Mystères de Paris de Eugène Sue
1843
Les Mystères de Paris (4)
Eugène Sue
Roman Histo
7½ h
« Il y a dans Les Mystères de Paris une énergie sauvage : celle d’une cohorte de personnages maléfiques, malfrats hideux comme la Chouette, Tortillard, le Maître d’école ou Bras-Rouge, criminels du grand monde comme le comte de Saint-Remy, monstres hypocrites comme le notaire Jacques Ferrand. Eugène Sue n’est pas avare de noirceur. Mais il y a aussi une sauvagerie du Bien, celle de Rodolphe, prince mélancolique venu à Paris à la recherche de sa fille perdue, impitoyable avec les méchants qu’il punit au mépris des lois. On doit à sa cruauté quelques-unes des scènes les plus stupéfiantes du roman. Cette cruauté contraste avec la pureté morale de Fleur-de-Marie, comme avec la face solaire de Rodolphe, providence de tous les malheureux honnêtes dont il croise le chemin.
Le roman exprime dans son ensemble une quête assoiffée de régénération morale de la société, par l’amélioration des mécanismes préventifs et répressifs ainsi que par l’invention de mécanismes d’incitation au Bien qui doivent récompenser publiquement les actions exemplaires. »
 
 
Les Mystères de Paris de Eugène Sue
1843
Les Mystères de Paris (5)
Eugène Sue
Roman Histo
7 h
« Il y a dans Les Mystères de Paris une énergie sauvage : celle d’une cohorte de personnages maléfiques, malfrats hideux comme la Chouette, Tortillard, le Maître d’école ou Bras-Rouge, criminels du grand monde comme le comte de Saint-Remy, monstres hypocrites comme le notaire Jacques Ferrand. Eugène Sue n’est pas avare de noirceur. Mais il y a aussi une sauvagerie du Bien, celle de Rodolphe, prince mélancolique venu à Paris à la recherche de sa fille perdue, impitoyable avec les méchants qu’il punit au mépris des lois. On doit à sa cruauté quelques-unes des scènes les plus stupéfiantes du roman. Cette cruauté contraste avec la pureté morale de Fleur-de-Marie, comme avec la face solaire de Rodolphe, providence de tous les malheureux honnêtes dont il croise le chemin.
Le roman exprime dans son ensemble une quête assoiffée de régénération morale de la société, par l’amélioration des mécanismes préventifs et répressifs ainsi que par l’invention de mécanismes d’incitation au Bien qui doivent récompenser publiquement les actions exemplaires. »
 
 
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