2013
Laura Vanel-Coytte
Récit
½ h
“Oser”, c’est “entreprendre, tenter avec audace, risquer” (Le Nouveau Petit Robert).
Venise, « Ville d’Italie, chef-lieu de province et capitale de la Vénétie [...] se dresse en un site exceptionnel. Au fond de l’Adriatique, elle est construite au milieu d’une lagune, sur un archipel de 118 petites îles séparées par 177 canaux, et compte 400 ponts. Elle se trouve à 4 km de la terre ferme, à laquelle elle est réunie par un pont ferroviaire et routier, et à 2 km de la mer dont elle est séparée par un long cordon littoral (cordons de Pellestrina, du Lido de Venise, de Cavallino). » (Encyclopédie Larousse).
Risquer Venise, ce n’est pas y aller car ce n’est qu’à une heure et demie d’avion (du centre de la France) et vu la horde de touristes qui y débarque sans cesse, ce n’est plus un rêve hors de portée pour le commun des mortels comme ça l’était à l’époque du « Grand Tour. »
A l’heure où tout est à portée de clic (les liens que je fais dans mon livre en sont la preuve), je tente de refaire un « Grand Tour » (commencé avec Istanbul avec toi) du 21e siècle en aristocrate que je ne suis pas.
Oser Venise, c’est, malgré mes prédécesseurs talentueux, penser comme Mallarmé que « tout au monde existe pour aboutir à un livre. »
Venise, « Ville d’Italie, chef-lieu de province et capitale de la Vénétie [...] se dresse en un site exceptionnel. Au fond de l’Adriatique, elle est construite au milieu d’une lagune, sur un archipel de 118 petites îles séparées par 177 canaux, et compte 400 ponts. Elle se trouve à 4 km de la terre ferme, à laquelle elle est réunie par un pont ferroviaire et routier, et à 2 km de la mer dont elle est séparée par un long cordon littoral (cordons de Pellestrina, du Lido de Venise, de Cavallino). » (Encyclopédie Larousse).
Risquer Venise, ce n’est pas y aller car ce n’est qu’à une heure et demie d’avion (du centre de la France) et vu la horde de touristes qui y débarque sans cesse, ce n’est plus un rêve hors de portée pour le commun des mortels comme ça l’était à l’époque du « Grand Tour. »
A l’heure où tout est à portée de clic (les liens que je fais dans mon livre en sont la preuve), je tente de refaire un « Grand Tour » (commencé avec Istanbul avec toi) du 21e siècle en aristocrate que je ne suis pas.
Oser Venise, c’est, malgré mes prédécesseurs talentueux, penser comme Mallarmé que « tout au monde existe pour aboutir à un livre. »
