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Liste des livres

La Marelle de Samantha Bailly
2018
Samantha Bailly
Romance
5½ h
« J’ai toujours voulu être lue. Trouver un homme qui, comme moi, serait un lecteur averti, qui chercherait à déchiffrer, à lire entre les mots, à traquer les auréoles de poésie qui viennent parfois tacher le monde. Je ne voulais pas l’un de ces flâneurs qui sautent des chapitres, non. J’attendais celui qui prendrait l’histoire dans l’ordre ou le désordre, mais qui saurait recomposer le puzzle. Avant de te rencontrer, j’avais oublié combien j’aimais lire les visages, les peaux, les silences.
Et puis je t’ai perdu.
Parce que j’avais accepté le jeu.
Ce jeu de la marelle, avec toi. »
Sarah va bientôt avoir trente ans. Tout lui réussit : un poste prestigieux dans l’univers prisé de la mode, une bande d’amis qui brûle la chandelle par les deux bouts, une vie de couple épanouie. C’est alors qu’un soir, elle tombe sur un livre : Marelle, de Julio Cortázar. Cette trouvaille est un séisme. Ce livre n’est pas n’importe lequel : les pages sont annotées de sa main et de celle d’un homme qu’elle a aimé bien des années plus tôt. Le passé ressurgit sans crier gare, et avec lui, les fantômes d’une passion aussi intense qu’insensée. Elle et lui avaient décidé de jouer à un jeu. Le jeu d’une passion véritable, sans se révéler leurs identités, un jeu qui devait rester en périphérie de leurs existences, ne jamais s’inviter dans la réalité. Bouleversée par ce livre qu’elle est incapable d’oublier, dernière trace de cette passion enfouie, Sarah va se lancer dans une enquête éperdue pour retrouver celui dont elle ignore tout, sinon que de l’aimer l’a marquée d’une brûlure indélébile.
Naviguant entre passé et présent, La Marelle est un aller-retour permanent entre la terre du pragmatisme et le ciel des idéaux, où se consument, se refroidissent et reprennent les flammes de toutes les passions, créatives, professionnelles et amoureuses. Un roman qui parle du feu en chacun d’entre nous.
Terminus de  Boileau-Narcejac
2016
Boileau-Narcejac
Policier
3 h
Lucienne ne fait rien. Ou plutôt elle attend. Son mari, Chavane, fait des allers-retours entre Paris et Nice. Elle n’a pas de désirs, ne s’ennuie même pas. Gamine, elle a été trouvée par un militaire en Algérie dans les ruines brûlantes d’une ferme, entourée de cadavres. L’homme l’a mariée à son neveu. Tout semble figé dans ce couple. Chavane le premier décide de partir, laisse une lettre… La réponse sera un terrible accident de la route. Lucienne est dans le coma. Sa voiture a été percutée par un chauffard en pleine nuit, dans un quartier où elle n’avait aucune raison d’être. Chavane réalise que sa femme avait le permis et qu’elle porte un autre nom. Ce n’est que le début de ses surprises. L’homme qui s’ennuyait découvre une autre personne, d’autres habitudes, une tout autre vie…
People attitude de Laura Caldwell
2005
Laura Caldwell
Romance
6 h
Vous avez lu People, le must des magazines fashion ? Il y a un article sur Nicole K., enfin pas sur elle : sur sa robe ! Sa robe, c’est moi qui l’ai faite, figurez-vous. Et dans le gros titre, c’est de moi qu’on parle ! Je sais ce que vous vous demandez : comment je me suis retrouvée à la Une ce journal ? Je vais vous raconter... Au début, je ne rêvais pas d’être célèbre. Mon rêve, c’était juste de devenir styliste. Ma vie, c’était soirées entre copines, shopping à Manhattan, et potins de stars... Quand, un soir, à Las Vegas, j’ai croisé le regard du sublimissime Declan McKenna. Non, vous ne rêvez pas, je parle bien de cet acteur qui rend les filles du monde entier hystériques ! Eh bien, il m’a littéralement dévorée des yeux !... Et c’est là que tout s’est enchaîné : soirées de gala, dîners branchés, aller-retour Paris/New York dans la journée... et surtout, une folle histoire d’amour avec Declan ! C’est comme ça que j’ai fini par me retrouver à la Une de People. D’ailleurs, j’ai écrit un livre, et si vous voulez tout savoir, vous n’avez qu’à lire People Attitude.
Charles Draper de Xavier de Moulins
2016
Xavier de Moulins
Littérature
2½ h
À la demande de Mathilde, Charles a quitté Paris et son appartement de la rue de Vaugirard pour s’installer à la campagne avec leurs deux filles, le rêve d’une vie. Une vie au vert, rythmée par ses allers-retours vers la capitale pour s’occuper de sa société. Le bonheur de Mathilde n’a pas de prix, tout le monde le sait, Charles ferait tout pour sa famille.
Alors pourquoi Mathilde est-elle de plus en plus distante ?
Est-ce le regret de Paris, de sa vie d’avant ? Le voisin, Clément, qui lui a montré la voie d’un ailleurs possible ? Ou bien ce reflet dans le miroir, ces quelques kilos en trop qui ont surgi sur la balance, ce profil d’homme mûr, moins ferme que dans leur jeunesse ?
Il y a forcément quelque chose. Si seulement Charles pouvait comprendre…
Apparence, apparences, mensonges et faux-semblants : chez Xavier de Moulins, les héros ont tous cette beauté éclatante, solaire, qui cache les plus noirs secrets.
Souvenance de Pauline Delpech
2013
Pauline Delpech
Romance
3 h
Une plage de l’île d’Oléron, un soir de printemps. Julie prend soin de sa mère, Élisabeth, qu’elle aime profondément. Atteinte de pertes de mémoire, qu’on devine dues à une tumeur, celle-ci se laisse bercer par l’affection joyeuse dont l’entoure sa fille : pour lutter contre l’oubli et éclairer ses derniers jours, Julie lui raconte leur histoire. Dans ses mots, Élisabeth émerveillée redécouvre indéfiniment sa propre vie et tente de s’approprier ce passé qu’elle ne reconnaît pas. De petites incohérences en dissonances, elle ne parvient pourtant pas à accorder ses souvenirs vacillants avec ce récit. Est-elle vraiment la femme que lui décrit Julie ? Que lui cache-t-elle ? Au gré des allers-retours dans la mémoire intermittente d’une femme vulnérable, ce conte d’une beauté fragile est une magnifique déclaration d’amour. Lumineux et poétique, il aborde avec délicatesse le sujet de l’altération mentale et de la perte d’un être cher.
Le Liseur du 6h27 de Jean-Paul Didierlaurent
2014
Jean-Paul Didierlaurent
Littérature
2½ h
« Peu importait le fond pour Guylain. Seul l’acte de lire revêtait de l’importance à ses yeux. Il débitait les textes avec une même application acharnée. Et à chaque fois, la magie opérait. Les mots en quittant ses lèvres emportaient avec eux un peu de cet écoeurement qui l’étouffait à l’approche de l’usine. »
Guylain Vignolles est préposé au pilon et mène une existence maussade et solitaire, rythmée par ses allers-retours quotidiens à l’usine. Chaque matin en allant travailler, comme pour se laver des livres broyés, il lit à voix haute dans le RER de 6h27 les quelques feuillets qu’il a sauvé la veille des dents de fer de la Zerstor 500, le mastodonte mécanique dont il est le servant.
Un jour, Guylain découvre les textes d’une mystérieuse inconnue qui vont changer le cours de sa vie...
Dans une couleur évoquant le cinéma de Jean-Pierre Jeunet ou la plume ouvrière de Jean Meckert, Jean-Paul Didierlaurent signe un premier roman qui nous dévoile l’univers d’un écrivain singulier, plein de chaleur et de poésie, où les personnages les plus anodins sont loufoques et extraordinaires d’humanité, et la littérature le remède à la monotonie quotidienne.
 
 
La Vie materielle de Marguerite Duras
1987
Marguerite Duras
Littérature
2½ h
Ce livre nous a fait passer le temps. Du début de l’automne à la fin de l’hiver. Tous les textes ont été dits à Jérôme Beaujour, à très peu d’exceptions près. Puis les textes décryptés ont été lus par nous. Une fois notre critique faite, je corrigeais les textes et Jérôme Beaujour les lisait de son côté. C’était difficile les premiers temps. On a très vite abandonné les questions. On a abordé des sujets, là aussi on a abandonné. La dernière partie du travail, je l’ai consacrée à abréger les textes, les alléger, les calmer. Cela de notre avis commun. Donc aucun des textes n’est exhaustif. Aucun ne reflète ce que je pense en général du sujet abordé parce que je ne pense rien en général, de rien, sauf de l’injustice sociale. Le livre ne représente tout au plus que ce que je pense certaines fois, certains jours, de certaines choses. Donc il représente aussi ce que je pense. Je ne porte pas en moi la dalle de la pensée totalitaire, je veux dire : définitive. J’ai évité cette plaie. Ce livre n’a ni commencement ni fin, il n’a pas de milieu. Du moment qu’il n’y a pas de livre sans raison d’être, ce livre n’en est pas un. Il n’est pas un journal, il n’est pas du journalisme, il est dégagé de l’événement quotidien. Disons qu’il est un livre de lecture. Loin du roman mais plus proche de son écriture - c’est curieux du moment qu’il est oral - que celle de l’éditorial d’un quotidien. J’ai hésité à le publier mais aucune formation livresque prévue ou en cours n’aurait pu contenir cette écriture flottante de La Vie matérielle, ces aller-retour entre moi et moi, entre vous et moi dans ce temps qui nous est commun.
Nous aurons toujours Paris de Eric Faye
2009
Eric Faye
Littérature
2 h
Quelques mots singuliers entendus enfant dans la conversation ses grands, quelques cartes figurant les monuments d’une cité mythique, un livre qui tombe d’un rebord de table et s’ouvre à la page du 2 mai 1950, une villa blanche qui vous rappelle l’Afrique, et un vieux poste de radio, et revoilà la légende du Rosebud, le souvenir qui imprègne le présent et dont le parfum ne se dissipe jamais, et qui aide, transforme l’avenir en un jardin vivable, comme Bogart trouve la force de quitter Ingrid Bergman en lui disant, pendant que l’avion mouline du brouillard sur la piste, We’ll always have Paris.
Et c’est ainsi, dans Casablanca, que les deux amants réussissent à continuer à vivre, à se séparer s’il le faut et à suivre chacun son propre chemin, en se souvenant de leur idylle dans le Paris d’avant l’occupation allemande. En puisant dans cette réserve de lumière. Avec ce livre entièrement dédié à un sentiment, celui du “merveilleux”, à sa naissance et son cours à travers la vie d’un homme - la sienne - l’auteur nous invite à le suivre dans son propre puits de lumière.
Nous aurons toujours Paris est conçu sous forme de boucle, et c’est dans le perpétuel aller-retour entre les rêveries de l’enfant, ses projections et leur prolongeaient à l’âge adulte, dans leur décalage, souvent, que se glisse le merveilleux, que se construisent la vie et l’œuvre, avec leurs impasses, fausses pistes, déceptions et surprises. Il n’est donc pas, ou très peu, question de Paris dans ces pages. Mais plutôt de pérégrinations et de rencontres : du Japon à l’Afrique, et de julien Gracq à Ismail Kadaré ou Albert Cossery, quand ce n’est pas l’ombre du toujours énigmatique B. Traven.
Terminus Elicius de Karine Giébel
2004
Karine Giébel
Thriller
3½ h
Istres - Marseille. Pour Jeanne, la vie est ponctuée par cet aller-retour ferroviaire quotidien entre son travail de gratte-papier au commissariat et la maison de sa mère. Elle attend néanmoins qu’un événement vienne secouer le fil de son existence: un regard, enfin, du capitaine Esposito ? La résolution, peut-être, de cette affaire de serial killer qui défraie la chronique phocéenne? « Vous êtes si belle, Jeanne. Si touchante et si belle. » Ce soir-là, une lettre, glissée entre deux banquettes, semble combler toutes ses espérances. Un peu trop, même. Car derrière le mystérieux soupirant se cache le meurtrier tant recherché par la police. Commence alors une correspondance amoureuse qui, pour Jeanne, n’aura de terminus qu’au bout de l’enfer...
 
 
L'inconscience de Thierry Hesse
2012
Thierry Hesse
Littérature
6 h
Chez les Vogelgesang, une famille catholique, traditionnelle et alsacienne, quatre fois par an, la mère imposait à ses deux fils un « petit examen du coeur », dans le but de les aider à grandir, de les rendre plus responsables, plus humains. Que sont-ils devenus ? Carl, après avoir fondé une famille et travaillé vingt ans dans la même mutuelle, a radicalement changé d’orientation : il s’est laissé envoûter par un certain Stern, dont il est devenu en quelques semaines l’associé et l’amant. Il vit - ou plutôt vivait - à Metz, car pour l’heure il est plongé dans un coma profond après une chute inexpliquée de la fenêtre de son agence. Marcus, l’aîné, célibataire, séducteur et insouciant, a multiplié les expériences avant de se fixer à Roubaix, où il enseigne l’ethnologie et couche avec ses étudiantes.
Tout en retraçant le parcours de ces deux frères, Thierry Hesse multiplie les allers-retours entre sphère intime et sphère sociale, dévoilant, au-delà des différences, le visage d’une époque où les compagnies d’assurances ont remplacé les consolations de la religion, et où le pouvoir de la finance est devenu omniprésent.
Enchaînant avec brio narration et réflexion, émotion et ironie, classicisme et sensibilité à l’esprit du temps, L’Inconscience manifeste une vaste ambition littéraire. Des faubourgs de Roubaix aux Ramblas de Barcelone, Thierry Hesse captive et capture ses lecteurs avec une « musique » bien à lui, mêlant les harmoniques de la phrase française aux stridences du Velvet Underground cher à ses protagonistes.
Les devins de Margaret Laurence
2010
Manawaka (5)
Margaret Laurence
Littérature
10 h
Morag Gunn est une écrivaine à succès qui doit faire face au départ de sa fille, Pique, dix-huit ans. Installée en Ontario sur une ferme en bordure d’une rivière coulant « dans les deux sens », elle fait à travers une série d’allers-retours entre passé et présent le point sur les moments les plus douloureux ou les plus grisants de sa vie : son enfance en marge de la société dans la petite ville de Manawaka, sa relation avec Pique, avec Jules Tonnerre, un Métis chanteur de country, son rejet d’un mariage avilissant, sa découverte de l’écriture comme refuge…
Livre à tiroirs au ton prophétique, porté par une lucidité cruelle et belle à la fois, et par un lyrisme inégalé dans l’oeuvre de Margaret Laurence, Les Devins (Prix littéraire du Gouverneur général du Canada) est l’une des oeuvres les plus autobiographiques de l’écrivaine, qui y mêle avec ingéniosité et subtilité différentes voix. Ce livre, le dernier de l’auteure de L’ange de pierre, est considéré par Margaret Atwood comme l’un des meilleurs romans des temps modernes.
Profondeurs de Henning Mankell
2008
Henning Mankell
Policier
5½ h
Automne 1914. La Suède, malgré sa neutralité, craint d’être entraînée dans la guerre, car les flottes allemande et russe s’affrontent au large de ses côtes. Le capitaine Lars Tobiasson-Svartman reçoit la mission de sonder les fonds de la mer Baltique et de chercher une route maritime secrète à travers l’archipel d’Östergötland. L’homme est hanté par l’idée de contrôle qu’il exerce en mesurant tout ce qui l’entoure, les masses, le temps, les distances entre les lieux, les objets et les êtres (sa femme Kristina restée à Stockholm). Mais lorsqu’il découvre Sara Fredrika vivant seule sur une île désolée, la présence de cette femme très vite l’obsède et il devient son amant. Le fragile couvercle qu’il maintenait sur son « abîme » intérieur se soulève et son univers tiré au cordeau vole en éclats. D’allers-retours entre l’île et Stockholm, il s’invente des missions secrètes. De mensonge en mensonge — à Sara Fredrika, à Kristina, qui perd la raison, à l’amirauté qui le pousse à démissionner —, Tobiasson perd pied, sombre dans la folie et se suicide par noyade.
Dans ce récit sobre et parfaitement construit, porté par une intensité émotionnelle constante, Henning Mankell se mesure ici avec les plus grands auteurs suédois contemporains, Torgny Lindgren et Per Olof Enquist.
La ballade de l'impossible de Haruki Murakami
2011
Haruki Murakami
Littérature japonaise
8½ h
Oeuvre d’une ampleur exceptionnelle, placée sous le parrainage de Salinger et Francis Scott Fitzgerald, La Ballade de l’impossible est le livre qui a révélé Haruki Murakami. Un superbe roman d’apprentissage aux résonances autobiographiques, dans lequel l’auteur fait preuve d’une tendresse, d’un charme poétique et d’une intensité érotique saisissants.
Au cours d’un voyage en avion, le narrateur entend une chanson des Beatles : « Norwegian Wood ». Instantanément, il replonge dans le souvenir d’un amour vieux de dix-huit ans.
Quand il était lycéen, son meilleur ami, Kizuki, s’est suicidé. Kizuki avait une amie, Naoko. Ils étaient amoureux.
Un an après ce suicide, le narrateur retrouve Naoko. Elle est incertaine et angoissée, il l’aime ainsi. Une nuit, elle lui livre son secret, puis disparaît...
 
 
Niels de Alexis Ragougneau
2017
Alexis Ragougneau
Littérature
5½ h
« - Tes allers-retours entre la vie et la mort tu vas les faire encore longtemps ?
- Le temps qu’il faudra. Pourquoi ? Tu te fais du souci pour moi ?
- Tu es juive, n’est-ce pas ? C’est insensé, tu sais ce qu’ils te feront s’ils te prennent ?
- Je n’ai pas peur. À Copenhague, je suis chez moi. Ce sont eux les envahisseurs. » Danemark 1943, Niels Rasmussen rencontre Sarah à la rousse chevelure. Il rejoint alors la Résistance et devient le saboteur de génie qui remodèle la ville occupée à coups d’explosifs. Quand le conflit mondial s’achève, Sarah attend un enfant et les héros sont prêts à recueillir leurs lauriers. Pourtant, une page du Parisien Libéré glissée dans un courrier anonyme va infléchir le destin. Dans la rubrique “Épuration” Niels lit :
C’est le 7 mai que le dramaturge Jean-François Canonnier, actuellement détenu à Fresnes, passera devant la Cour de justice de la Seine. Il sera défendu par maître Bianchi. Éperdu d’incompréhension et pour sauver son « frère de cœur », il entreprend une odyssée qui fera vaciller toutes ses certitudes quant à l’héroïsme, la lâcheté, la Résistance et la collaboration. Roman d’aventures, enquête introspective, Niels fait fi des genres littéraires et nous soumet à la question : Et vous, qu’auriez-vous fait ?  
Le Passager de Patrick Senécal
2005
Patrick Senécal
Thriller
18
3½ h
Etienne Séguin n’a pas trente ans. Originaire de Drummondville, demeurant depuis quelques années à Montréal, il vient d’accepter un poste de professeur de littérature au cégep de sa ville natale. Qu’à cela ne tienne, il fera l’aller-retour par l’autoroute 20 ; le trajet ne prend pas plus d’une heure, cela lui permettra d’écouter la radio et, surtout, d’oublier sa récente séparation ! Peu de temps après, Etienne remarque un auto-stoppeur, toujours posté au même endroit au moment où il passe. Pourquoi ne pas le faire monter afin de rompre la monotonie de la route ? Dès la première rencontre, le jeune homme comprend que son passager l’a connu dans son enfance. Mais voilà : Etienne souffre d’amnésie et n’a aucun souvenir de ses jeunes années. C’est alors que les questions surgissent dans son esprit : qui donc est ce passager qu’il a pris l’habitude d’embarquer ? Et qu’ont-ils fait ensemble, dans leur jeunesse ?
Ticket aller-retour pour l'hyperespace de Louis Thirion
2012
Louis Thirion
Anticipation
2 h
Albruk Kansavril était un spatio endurci, qui n’avait jamais mis les pieds sur terre ; il était superstitieux et croyait que tout objet cosmique ayant dépassé l’orbite de Pluton 2 ne pouvait revenir que contaminé. Et ce fut justement un objet de cette sorte qu’on lui ordonna de garder, cette fameuse nuit de l’an 600 de Jupiter.
Aller simple pour Los Angeles de Cathy Yardley
2003
Cathy Yardley
Romance
7½ h
Los Angeles ! Sarah en avait rêvé... Un appartement douillet avec Benjamin - son petit ami -, un job sympa dans un quartier cool, des week-ends à Palm Beach en amoureux, et pourquoi pas de beaux projets de mar... Stop ! Il valait mieux arrêter tout de suite de fantasmer, car pour réaliser tous ces rêves, il fallait être... DEUX ! Or elle se retrouvait SEULE dans l’immensité de Los Angeles, avec un loyer trop élevé pour ses revenus - quels revenus d’ailleurs ? - et sans la moindre idée de ce qu’elle allait faire... Evidemment, ça aurait pu être pire : elle aurait pu se retrouver en plein quartier gay, ou encore dénicher une colocataire hystérique et insupportable, voire trouver un boule débilitant dans une boîte inhumaine... En réfléchissant bien, pourquoi avait-elle écouté Benjamin... au lieu de prendre un aller-retour.
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