Les livres de NousLisons.fr dont tag contient Aldiss

1959

Brian Aldiss

5½ h

Roy Complain est un chasseur de la tribu Greene. Il arpente le monde envahi par la jungle des poniques et survit tant bien que mal grâce à ce qu’on lui donne en échange de son gibier. Jusqu’au jour où Gwenny, sa compagne, est enlevée dans des circonstances étranges. Il part alors, en compagnie de Marapper, le prêtre, et de trois autres membres de la tribu, à la découverte de secteurs inexplorés du monde où subsistent les traces d’une civilisation gigantesque et disparue. Les croyances et les certitudes de Complain vont, petit à petit, voler en éclats.
Dès Croisière sans escale, son premier roman de science-fiction, Brian Aldiss faisait preuve d’une originalité et d’une imagination qui l’ont placé d’emblée parmi les plus grands créateurs du genre.

La Mamelle de Némésis

2016

Brian Aldiss

Fantasy

4 h

La Mamelle de Némésis est un premier roman, fruit de l’imagination d’une jeune greco-anglo-normande du nom d’Honey May Harness, célibataire, blonde et ex-chanteuse d’un groupe de pop. À moins que l’auteur véritable ne soit en fait Brian Aldiss, auteur à succès, quoique vieillissant, de romans de science-fiction mais aussi de quelques ouvrages mainstream ici et là salués par la critique. Toujours est-il qu’il y est question, quel qu’en soit l’auteur, d’une icône byzantine qui pourrait bien s’avérer totalement fausse, représentant l’enfant-Jésus tétant le sein de sa... grand-mère, celui de Marie n’ayant, selon quelques sources obscures, pas eut assez de lait pour nourrir le divin enfant. Une découverte qui, vraie ou fausse, va provoquer moult remous dans la petite île grecque où elle fut découverte. Petite île où se trouve par ailleurs l’auteur (mais est-ce bien lui ?), qui n’a de cesse d’intervenir dans le récit pour nous conter ses aventures amoureuses, pas toujours brillantes mais définitivement libidineuses.

Mars blanche

1999

Brian Aldiss

7½ h

Monument de la science-fiction britannique – il est à la fois l’un des plus brillants théoriciens et l’un des plus fabuleux écrivains – Brian Aldiss a relevé le défi : écrire un roman martien qui ne doive rien aux réussites précédentes de la SF américaine.
Mars blanche oppose ainsi une réflexion utopique à la volonté démiurgique de la terraformation. On ne sera pas surpris de constater que les personnages d’Aldiss parlent beaucoup : contrairement à la plupart des récits martiens précédents, ce roman est prétexte à une vision critique de la Terre d’aujourd’hui. Si l’on cherche une véritable mise en scène de la conquête extraterrestre, on risque d’être déçu.

SuperToys

2001

Brian Aldiss

4½ h

— Toi et moi, nous sommes réels, n’est-ce pas Teddy ?
Les yeux de l’ours en peluche regardèrent le garçon sans ciller :
— Toi et moi, nous sommes réels, David.
Il était spécialisé en réconfort.
Ceci est l’histoire d’un petit garçon qui n’arrive pas à plaire à sa maman, un petit garçon qui n’est pas du tout un petit garçon, un petit garçon dont l’intelligence est artificielle.
En trois nouvelles fulgurantes d’une densité incroyable, B. Aldiss met en scène ces superjouets, les Supertoys, ainsi que les limites de l’intelligence artificielle, et s’interroge sur ce que peut être l’humanité et le rapport au réel.
Kubrick et Spielberg en ont fait la trame du film A.I. (Intelligence Artificielle).
Les autres nouvelles qui composent ce volume sont d’autres histoires de notre avenir sur la capacité de l’homme à contrôler les progrès irrésistibles de la technologie sans perdre son humanité.

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